Cet article a été initialement publié sur Medium le 17 octobre 2017.
Du salariat au freelancing : la liberté comme horizon !
Adrian a commencé sa carrière de manière assez classique : il est devenu salarié à Paris après ses études, puis a migré en Normandie. Après 5 ans d’expérience en salariat, avec ses hauts et ses bas, il a décidé de se lancer en tant que développeur web et mobile freelance en juillet 2014.
Pourquoi ce changement de vie ? La réflexion lui a pris un petit temps, mais l’attrait de la liberté a été le plus fort :
Le télétravail, son incontournable
Au-delà de travailler en freelance, Adrian a opté presque exclusivement pour du télétravail.
Une décision pas toujours bien comprise de prime abord par ses clients potentiels, mais directement liée aux difficultés qu’il a pu rencontrer au démarrage de son activité de freelance. Il lui est arrivé de perdre une journée en faisant 4h de train aller-retour pour un rendez-vous client de 30 minutes à peine par exemple …
Désormais installé dans un petit village de la campagne occitane, il est ravi de son nouveau mode de vie :
Ne pas rester seul dans son coin
A-t-il rencontré d’autres obstacles sur sa route en se lançant en tant qu’indépendant ? Il appuie sur le fait qu’il faut réussir (rapidement) à se faire respecter par les clients. 💪 Pas de trajets inutiles donc, faire comprendre que payer dans les temps prévus, c’est mieux … En un mot, affirmer sa façon de faire.
En dehors de cela, il insiste sur le fait qu’il ne faut pas rester isolé, surtout quand on fait du télétravail.
Participer à des événements dédiés donc, travailler d’un espace de coworking … les solutions ne manquent pas pour éviter la solitude du freelance !
D’ailleurs, s’il devait changer quelque chose dans son parcours, ce serait de s’entourer plus rapidement d’un comptable. Adrian a choisi de créer une EIRL, tout seul dans son coin, avant de changer de statut, et cela n’a pas été si simple.
Les banques et lui
Au mot banque, Adrian préfère sans conteste le mot solution de gestion financière. Les premières doivent trop lui rappeler les pesanteurs de la vie qu’il a voulu quitter en devenant freelance. 😉
Il y associe des interfaces d’un autre âge, des frais complexes et des conseillers jamais joignables. D’où sa préférence sans réserve pour le mot néobanque. 😉
Il fait d’ailleurs preuve d’un enthousiasme sans borne pour Qonto :