Devenir freelance, c’est d’abord miser sur une compétence métier. Écrire, coder, designer, conseiller… Nombreux sont ceux qui franchissent le pas parce qu’ils maîtrisent un savoir-faire et souhaitent l’exercer avec plus de liberté.
Mais l’indépendance ne repose pas uniquement sur une expertise technique. Elle implique aussi de savoir créer des opportunités, identifier des besoins, susciter la confiance. Bref, d’endosser un second rôle, celui de commercial.
Un volet souvent sous-estimé, parce qu’il ne va ni de soi, ni de pair avec la spécialité exercée. Et pourtant : sans prospection régulière, même les profils les plus aguerris peinent à trouver des clients.
Alors, comment dépasser la peur du rejet, construire un message percutant et s’imposer dans l’agenda (chargé) des décideurs ?
Pour répondre à ces questions, nous avons interrogé Valentin Decker, ancien freelance en marketing et fondateur de Sauce Writing, une école en ligne qui aide les indépendant(e)s à vivre durablement de leur activité.