Contrairement aux idées reçues, l’accès aux marchés étrangers n’est pas réservé aux grandes entreprises.
Que vous soyez entrepreneur(e) solo ou à la tête d’une équipe, votre petite structure peut prétendre à un destin international.
En effet, 95 % des entreprises exportatrices en France sont des PME et micro-entreprises. 130 000 entreprises au total, déjà séduites par les avantages d’intégrer un nouveau marché :
- L’augmentation potentielle du chiffre d’affaires
- Des économies d’échelles
- Le fait de ne plus être dépendant d’un seul marché
- Pouvoir prendre de l’avance sur la concurrence
Une perspective intimidante pour certain(e)s, lorsqu’on sait qu’entreprendre dans sa propre langue est déjà un travail de longue haleine.
De plus, les économies européennes étant confrontées à un ralentissement cet hiver, de nombreuses entreprises sont frileuses à l’idée de conquérir de nouveaux marchés.
Pourtant, si (et seulement si) une PME ou une micro-entreprise dispose des ressources nécessaires, elle peut tout à fait réussir à se développer en période de ralentissement économique.
Mais par où commencer ? Par quelques questions fondamentales.