Il existe deux types de flux de trésorerie : les flux de trésorerie entrants et les flux de trésorerie sortants.
Les flux de trésorerie entrants comprennent les revenus générés par l'entreprise, tels que les ventes de produits ou de services.
Les flux de trésorerie sortants comprennent l’ensemble des décaissements, tels que :
- les achats de matières premières ;
- les salaires; les paiements d'intérêts sur les emprunts ;
- le paiement des taxes et des impôts.
Il est important de surveiller les flux de trésorerie entrants pour s'assurer que l'entreprise génère suffisamment de liquidités pour couvrir ses coûts opérationnels et investir dans son développement.
Plusieurs actions permettent d'améliorer les flux de trésorerie entrants :
- mettre en place des politiques de recouvrement des créances efficaces ;
- proposer des offres commerciales attractives pour stimuler les ventes ;
- rechercher des financements externes, tels que des prêts ou des subventions.
Pour optimiser les flux de trésorerie sortants, il est possible de négocier avec les fournisseurs pour obtenir des conditions de paiement plus avantageuses, de réduire les coûts de production ou encore de mettre en place des outils de gestion des stocks pour éviter les surstocks ou les ruptures de stock.
La gestion de trésorerie est une démarche parfois complexe, mais indispensable pour assurer le bon développement de l’activité et la croissance saine de l’entreprise.
Pour la mener à bien, le dirigeant peut s’appuyer sur des collaborateurs en interne (DAF, RAF, responsable comptable, etc.) ainsi que sur des ressources externes, comme l’expert-comptable ou un DAF à temps partagé si l’entreprise ne dispose pas d’une équipe finance.